Commentaires sur une demande de guérison – un adieu de VIP.
Un abonné 11:11 écrit au sujet de sa maman – le 4 novembre 2011.
L'univers ne divulgue pas toujours ses plans. Il se peut que les nombreux guérisseurs attachés au Groupe de Progrès 11:11 demandent un miracle, et c'est parfois ce qu'ils reçoivent. Parfois, ils ont une surprise … de véritables adieux de VIP.
J'ai eu la chance d'avoir une mère bienveillante qui fit de son mieux alors qu'elle souffrait d'un cancer du sein. Elle est décédée le 16 décembre 2010, nous donnant la meilleure leçon de vie qu'une mère puisse donner. Il y a la vie après la mort.
Comme toute femme de ce monde, elle subit quelques changements physiques et les médecins décidèrent de lui donner certains médicaments, des hormones. Des années plus tard, il devint notoire que leurs effets secondaires pouvaient causer un cancer du sein, de la démence et d’autres problèmes. Ma mère développa un cancer du sein et reçut une chimiothérapie, mais après cela, elle était différente de la mère que j’ai connu et aimé en grandissant. Tout l’irritait. Elle avait des sauts d’humeur, criait beaucoup, tout en étant toujours une mère – partageant le peu qu'elle avait.
J'avais décidé qu’il fallait que j’emménage avec mes parents, mais n’avais aucune idée que ce serait la dernière année de vie de ma mère, et je serai toujours reconnaissante d’avoir pu partager ces moments avec elle.
Les deux dernières semaines de sa vie, elle fit de multiples séjours à l'hôpital, car le cancer s'était déjà répandu dans ses poumons et elle avait du mal à respirer.
Le 15 décembre, aux environs de 2:30, je parlais à ma fille, qui était arrivée plus tôt dans la nuit pour être auprès de sa grand-mère. Le téléphone sonna, et après avoir pris cet appel d'une infirmière, j'ai téléphoné au reste de la famille pour leur dire que nous devions nous rendre à l'hôpital. Nous y sommes arrivés environ une demi-heure plus tard. Ma mère était pleinement éveillée et souffrait quelque peu. Je n'oublierai jamais comme son regard s’est illuminé lorsqu'elle s’aperçut que sa première petite fille était présente.
Une heure plus tard, la plus grande partie de la famille l’entourait. Elle était animée, parlant à tous, et faisant la paix avec deux personnes qu'elle avait du mal à accepter dans la famille. Vers midi, elle perdit connaissance à plusieurs reprises après avoir reçu sa première dose de morphine. Elle continua à ouvrir les yeux, à dire des choses pour nous dérider, et nous demander d’être toujours disponibles les uns pour les autres, et de maintenir l’unité de la famille. Heure après heure, l'infirmière lui demanda si elle allait bien, et elle répondit affirmativement. Il vint un moment où elle ne put bouger que la tête, tout à fait incapable de répondre à l'infirmière.
Trois prêtres ou pasteurs sont venus lui donner l’extrême onction et elle dit tout à coup : « D’accord, d’accord, je pars ». Après cela, presque tout le monde quitta la chambre, sauf ma belle-sœur et moi. C’est alors que, soudainement, elle enleva son masque à oxygène et commença à marmonner. Dans un premier temps, nous ne pouvions pas comprendre ce qu'elle disait, car on aurait dit une autre langue, mais il devint évident qu'elle parlait à quelqu'un que nous ne pouvions pas voir. Elle nous fit savoir que sa mère, sa grand-mère et un frère, étaient là avec elle. Puis elle dit : « Oui, ne voyez-vous pas que je suis entourée de toute la famille. Je ne peux pas, » dit-elle : « Il en manque un » (un de mes frères était à l'étranger). Elle le répéta plusieurs fois.
La dernière chose que j’entendis ma mère dire fut : « Où m’emmenez-vous » ? Puis elle dit : « Mais je ne peux pas voler » !
A ce moment-là, un immense sentiment de paix m’envahit car je savais qu'elle était avec ses Anges Gardiens, et que le Séraphin à quatre ailes attendait pour la transporter.
Au moment où qu'elle prit son dernier souffle, c’était 6 heures du matin le lendemain. Elle était entourée de sa fille aînée, sa première petite-fille et son fils cadet.
Ma fille m’informa qu’ils dormaient tous les trois mais se réveillèrent en même temps car la chambre devint extrêmement froide et quand ils la regardèrent, elle rendit son dernier souffle et s’en alla. Le jour suivant, mon frère revint d'outre-mer et il me dit qu'au moment exact où elle expirait, un froid extrême le transperça et qu’il se réveilla lui aussi. Elle avait été autorisée à dire au revoir à celui qui était absent.
Traduction française : Anyas Spencer.
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