District d’Illawarra, Australie, le 25 avril 2003.
Médian Primaire, Andréa.
Sujet : « Le Monde Antédiluvien » (première partie)
Reçu par George Barnard.
George (voyant des îles dans l’océan Pacifique, et des immenses aires de végétation tropicales) : « … nous apprenons tous deux en ce moment, Andréa. Je suis si content que tu sois venue. J’avais un sentiment qui me tracassait qu’il devait y avoir une coupure dans les révélations d’information dirigée par un Citoyen du Paradis, au moins... Cela semble avoir été le cas pendant les dernières semaines ».
Andréa : « Je te salue, mon frère. À ma connaissance, il n’y a pas eu de telle coupure, autre que celle causée par tes longues préoccupations pendant ce temps. Les photographies que l’on te montre étaient des îles de l’océan Pacifique, oui, telles qu’elles existaient il a de cela treize milles ans – ce monde antédiluvien. Elles étaient larges et nombreuses, intensément couvertes de vie végétale et animale, et très différentes de ce qui reste d’elles au moment présent.
« C’était en effet un plaisir pour nous de voyager parmi celles-ci (les îles) et de nous y installer et d’y vivre pour des périodes de temps prolongées. Avec les communications fréquentes et parfois continues avec les marins humains, il n’y avait jamais de grand mystère dans leurs esprits à propos de ce qui serait trouvé quand le voyage, enfin, se terminerait.
« Il y avait des récifs à rencontrer et à éviter, des bancs présentant des dangers et à être évités, des conditions atmosphériques difficiles qui se formaient et dont ils devaient être avertis, malgré que, en même temps, ce voyage s’est révélé être une aventure épique, plutôt. Soigneusement sélectionné par d’autre, et par moi-même, c’était dans la pointe la plus au nord de l’Amérique du Sud que nous avons atterri.
« Ce serait une option, laissée à nos compagnons humains, de voyager vers le nord ou le sud, mais soyez rassurés que beaucoup de la civilisation que nous avons amenée sur ces terres allaient voyager ; dans les deux directions. Elle ne serait jamais complètement perdue, non ».
George : « Il y a de cela treize milles ans (11 000 B.C.) que datent ces pointes de Clovis ? Ceci est une question, Andréa. Est-ce que c’est vous qui ont amené la technologie ? L’art ? »
Andréa : « Nous avons amené le tissage et de meilleures pratiques agricoles, la métallurgie et la poterie, même un coton ancien et les pointes de Clovis plus utiles, et beaucoup, beaucoup plus ».
George : « Piri Reis » ? (Une ancienne mappe de l’Antartique).
Andréa : « Il y avait plusieurs copies en Alexandrie, et bien sûr, elles étaient créées avec notre assistance. Chaque îlot était connu et nommé par vos ancêtres Adamiques et avant leur temps. Laisse-moi continuer pour l’instant.
« Nous avons amené plusieurs améliorations qui se sont infiltrées doucement jusqu’à des endroits éloignés et qui seraient encore là, florissant même à un haut niveau au temps de l’arrivée des conquistadors Espagnols.
« C’était un grand nombre de bateaux qui sont arrivés, et il y avait relativement peu de difficultés pendant le voyage, mais il y avait beaucoup plus d’émigrants que ceux qui étaient reportés. Comme était coutume dans ce temps-là, il y avait beaucoup d’esclaves de toutes sortes, genres et races, pour servir le maître de la flotte et son entourage. Aussi, il y avait beaucoup de braves individus, libres, qui croyaient simplement dans l’aventure sans savoir, et qui ont décidés d’accompagner les autres.
« La personnalité chef (dirigeant, ou maître de la flotte) avait le nom de Ionah, mais après les nombreuses décennies et les siècles, il a été vu comme un dieu, et connu dans la langue de nos frères et soeurs Rouges en tant que Viracocha. Oui, il serait connu non pas comme un homme, mais bien comme un être créateur important. Son vrai nom serait très bientôt oublié, et des qualités magiques lui étaient bientôt attribuées.
« Mon service avec lui a été de longue haleine, et avec les descendants de son groupe, mais à la fin il y avait très peu de contact, et j’ai eu un terme d’engagement encore plus long avec les Oracles de Delphi (en Grèce). À la fin, là aussi, cela est devenu encore plus difficile pour un Médian Primaire tel que moi de communiquer directement – de parler clairement.
« Alors que le temps passait, et les sens humains devenaient plus faibles, de plus en plus d’énergie devait être dépensée de mon côté pour rien de mieux que des messages confus et mélangés, et encore une fois, je prends plaisir dans ces jours-ci, et avec ma nouvelle tâche.
« La vie est ainsi – l’amour et le respect, et la possibilité de contact entre les partis est d’une telle importance. Alors que le temps passe, et le sang se dilue pour contenir une sensibilité moindre, la communication entre nos espèces différentes devient de plus en plus difficile. Une profonde compréhension, le respect, oui, l’admiration et l’amour pour qui nous sommes tous, sont toujours les pré-requis des deux côtés pour une conversation.
« Les tous premiers mots que tu as pris directement de moi ! Oui ! Les choses sont si différentes maintenant ! C’est tellement plus facile. Il y avait un autre temps, mais ces jours-ci nous avons encore bien du plaisir quand un mortel embarrasse un Médian.
« Sois rassuré que cette transmission s’est bien passée, et avec facilité. Sois rassuré que les mots ainsi que les photographies étaient très bien. Je te remercie de ton temps et de pointer tes oreilles vers mon bavardage. Je dois m’en aller maintenant ».
George : « Je veux savoir à propos de Lémuria ».
Andréa : « Tu peux placer le Lémuria antédiluvien où tu le préfères. Tous les autres le font. Mon amour à tous. Ici votre servante, Andréa ».
George : « Je t’aime, Andréa ».
Notes : J’essayerai de trouver du temps pour décrire ces photographies de réflexion universelle, clarifier des détails, et aussi pour expliquer des expériences passées auxquelles Andréa fait référence ici.
Certains abonnés aux listes des 11:11 seraient probablement plus savants à propos des pointes de Clovis que moi – la période de temps et les variations de leur manufacture, peut-être, et aussi à propos du coton du monde ancien. Faites-nous le savoir, et j’enverrai vos notes aux listes.
Traduit par Rébecca Tremblay et Eveline Kopachkov.
© Groupe de Progrès 11:11
« Encouragez vos Enfants à Connaître Dieu,
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Maintenant enseignez ceux qui en sont Capables à entendre Sa Parole – Je suis Athéna, qui vous aime ».
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